Aujourd’hui, c’est un sujet fondamental pour tout photographe indépendant que j’aborde : comment bien fixer les tarifs de vos shooting photo et maximiser vos revenus. Prêt à obtenir des conseils concrets et efficaces ? Parfait ! Alors on y va 😊 devenez photographe indépendant !
Table des matières
1️⃣ Incluez votre valeur ajoutée pour fixer vos tarifs shooting
Avant de fixer les prix de vos prestations photo, il est essentiel de réaliser combien vous apportez de valeur à vos clients.
Avec cette idée de valeur ajoutée, on n’est pas loin de la notion de confiance. Car il s’agit ni plus ni moins, dans un premier temps, de prendre conscience de vos compétences uniques puis de développer votre confiance en vous. Et donc de vous sentir légitime à proposer des tarifs élevés et rentables.
Même si vous êtes un photographe indépendant qui démarre tout juste en auto-entrepreneur : votre ancienneté et votre statut n’ont aucune importance ici.
Le but : avoir une confiance telle dans ce que vous proposez, une confiance telle dans les bénéfices qu’auront les clients grâce à vous, que vos prix augmenteront en conséquence.
Il s’agit donc de ratisser large et d’aller au-delà de vos compétences techniques de photographe. Dans les tarifs de vos prestations photo, vous allez inclure bien plus que ça.
Posez-vous notamment les questions suivantes (et surtout répondez-y !😉) :
👉 Quelles compétences spécifiques avez-vous développées au fil du temps, autres que la photo ?
C’est peut-être votre aisance avec les enfants qui va faire de vos shooting famille des moments ludiques et inoubliables ? Ou alors votre connaissance d’un secteur d’activité professionnel qui va apporter à vos séances corporate la justesse attendue ?
Vous êtes passionné par les meetings aériens ou les rassemblements de voitures anciennes ? Voila une vraie compétence qui rassura les organisateurs d’événements qui feront appel à vous et qui apportera de la valeur à votre séance photo. Bref j’arrête ici, vous avez compris l’idée.
👉 Quelle est votre expérience et votre expertise dans votre domaine photo ?
Vous savez capturer les plus belles lumières sur les sites de votre région ? Les collectivités territoriales et les professionnels du tourisme vont adorer. La conduite de modèle en extérieur est votre fort ? Voila une compétence qui va plaire aux modèles qui veulent nourrir leurs réseaux sociaux.
Et si c’est l’effet miroir sur les objets qui est votre fort, ce sont vos packshots qui vont prendre de la valeur.
Tout cela doit se retrouver dans vos factures.
👉 Quels avantages un client peut-il obtenir en travaillant avec vous ?
Listez donc tous les petits plus de votre travail photo : une prestation personnalisée qui colle parfaitement aux besoins du client, la rapidité et la fiabilité de votre livraison pour que son projet avance vite, un post-traitement de qualité pour un rendu final qui renvoie une parfaite image de sa marque…
Vous avez certainement une liste longue comme le bras de bénéfices à offrir (pardon : à vendre évidemment).
Une question que je pose très souvent à mes élèves en coaching :
» Citez-moi 20 raisons pour lesquelles vos clients ont de la chance de travailler avec vous » (perso, j’en ai trouvé 44 ! 😎)
👉 Que devrait vous dire un client satisfait qui a bénéficié de vos services ?
Savez-vous d’avance que votre client vous remerciera pour votre capacité à le mettre à l’aise pendant le shooting ? Ou peut-être qu’il soulignera votre attention aux détails et votre parfaite connaissance de ses produits. Peut-être qu’il s’enthousiasmera pour la créativité et l’originalité de vos mises en scène ?
Voilà autant de bénéfices à ajouter à votre liste. 😊
👉 Quelle est la singularité première qui vous différencie des autres photographes ?
Cela pourrait être votre talent pour le noir et blanc dramatique ou à l’inverse votre habileté à manier les palettes de couleurs vives et audacieuses.
Ou votre singularité pourrait résider dans votre approche de la narration, où chaque photo raconte un chapitre d’une histoire émouvante.
À moins que ce ne soit votre post-traitement qui vous rende si unique ?
Parfois, on peut aussi aller chercher dans d’autres compétences que celles de la photo. Votre formation initiale, votre engagement associatif, votre club de théâtre amateur sont toujours des pistes à explorer pour alimenter votre singularité.
👉 Quand vous montrez vos photos à vos clients, au public ou à vos proches, quel est le mot qui sort de leur bouche en général ?
Imaginez ou remémorez-vous les réactions de vos clients : une entreprise admirant les portraits d’équipe que vous avez réalisés, qualifiant votre prestation de « professionnelle » et « percutante ».
Pensez aux mots du jeune couple qui découvre vos photos et qui vous félicite d’avoir si bien capturé la joie et l’émotion de leur mariage. Ou encore, un artisan heureux de la « précision » avec laquelle vous avez photographié ses produits.
Ces premiers mots de vos clients sont sans doute la plus belle preuve de la valeur de votre travail photo.
Cette liste de questions n’est pas exhaustive, loin de là, mais peut déjà vous donner des pistes (à condition, à nouveau, d’y répondre !).
Une fois que ce premier travail de recensement de la valeur globale de vos prestations photographiques sera fait, nul doute que vous allez bien plus facilement fixer des tarifs à la hauteur. En toute confiance.
2️⃣ Positionnez vos tarifs en fonction du marché
Ce conseil est super important quand on débute comme photographe indépendant. Car même en suivant la première étape détaillée ci-dessus, croyez-moi, c’est assez inconfortable de fixer ses tarifs photo sans point de comparaison. Il faut bien commencer à écrire un premier prix.
Il est donc capital de comprendre le marché dans lequel vous évoluez afin de fixer des tarifs qui ne soient pas déconnectés de la réalité. Comprendre : ni trop bas, ni trop hauts, par rapport à la clientèle que vous visez.
Petite parenthèse en passant.
Il va sans dire que vous aurez déjà bien affiné au préalable votre marché cible. Tous les mariages de votre région ne sont pas un marché cible (trop large). Par contre, les mariés de votre région qui veulent un shooting au style burlesque ou extravagant sont un marché cible.
Les amoureux des chiens recherchant des photos de qualité de leur compagnon en pleine nature en sont un autre.
Quand c’est bon, renseignez-vous sur les tarifs pratiqués par d’autres photographes de votre région et de votre niche.
Concrètement, vous trouvez au moins 10 photographes pros de votre région, vous prenez leurs tarifs pour des prestations similaires à la vôtre, vous saisissez tout ça dans un tableur : vous aurez le plus cher, le moins cher et le prix moyen.
Les offres des photographes étant souvent présentées de manières assez différentes d’un professionnel à l’autre, essayez de ramener le tout à un taux horaire.
Ensuite, en fonction de votre expérience et du niveau de la prestation que vous visez, vous allez pouvoir ajuster vos prix et les placer dans une fourchette basse, moyenne ou haute des tarifs pratiqués autour de chez vous.
Ça c’est plus facile à écrire qu’à faire me direz-vous ? Surtout que les supports livrés au client après la séance photo (tirages et fichiers numériques) viennent ajouter à la difficulté à comparer les tarifs.
Certes, mais vous avez aussi des indicateurs objectifs. Si vous vous lancez dans le métier, que votre réputation reste à faire et que vous ne disposez pas d’un studio de compétition, positionnez-vous sur une offre au tarif raisonnable.
De chouettes séances en lumière naturelle à un prix abordable par exemple (mais vous pourriez vendre des tirages papier et les fichiers HD en option).
Il sera ensuite temps de monter vos tarifs progressivement au fur et à mesure de vos investissements, de l’enrichissement de vos prestations et de votre notoriété (les témoignages adiant). Et de viser une autre clientèle (mais c’est déjà un autre sujet…).
Avec toutes ces données, les vôtres et celles du marché, vous aurez déjà un cadre dans lequel vous caler … ou pas ! Mais au moins vous le ferez en connaissance de cause.
Cependant, ne vous limitez pas à simplement vous placer dans une échelle tarifaire. Le risque serait de constater que certains vendent des shootings « pour rien ». Ne tombez surtout pas dans le piège de faire plonger vos devis au prétexte que vous avez vu passer moins cher.
Prenez en compte votre expertise, votre style photo et vos services uniques pour justifier des tarifs qui reflètent votre valeur ajoutée (reprendre l’étape 1 si ça n’est pas assez clair). Et de toute manière vous ~devez~ faire votre marge.
Avec tout cela, mettre un prix sur votre offre photographique peut vite tourner au casse-tête. Alors n’y passez pas non plus des semaines. Positionnez-vous à des prix qui vous semblent bons, avec lesquels vous êtes confortables (mais avec une toute petite friction quand même 😊) et qui cochent les cases suivantes :
- Cohérents avec vos objectifs financiers.
- Dans les tarifs de votre marché et en phase avec votre client idéal.
- Pas trop bas, au risque de ne plus pouvoir être remontés par la suite.
- Pas trop haut si vous n’êtes pas encore un photographe de renom (sinon personne n’achètera).
- Qui pourront être augmentés progressivement en faisant évoluer vos offres.
Et dites-vous que mieux vaut fait que parfait : une fois les tarifs de vos offres couchés sur le papier au moins vous pouvez commencer à émettre des devis et à facturer.
Avant cela, ça risque d’être compliqué… Et si vous avez respecté les conseils de cet article il sera toujours temps d’affiner vos prix quand le besoin s’en fera sentir.
Alors passons à la suite si vous le voulez bien !
3️⃣ Calculez si vos prix vous permettent bien de vivre de la photo
Là, on entre dans du précis. Et des calculs.
Car vient un moment où des prix signifient aussi chiffre d’affaires, revenus, marges et bénéfices. La première chose à faire est tout d’abord de lister tous les coûts de fonctionnement et les investissements liés à votre entreprise :
- Vos crédits en cours pour l’achat de matériel.
- Le loyer du local si vous en avez un.
- Les coûts des abonnements aux logiciels et services.
- Les frais de déplacement.
- Les assurances.
- Les formations.
- Etc… Vraiment tous vos coûts.
Le tout sur un mois.
L’étape suivante, c’est de déterminer combien vous voulez gagner par mois grâce à la photo : votre salaire. Ce salaire, vous le multipliez par 3 :
- Un tiers de la somme obtenue sera donc votre salaire net.
- Un tiers restant ira aux cotisations et impôts.
- Le dernier tiers sera dédié aux frais de fonctionnement listés plus haut et au matériel.
Ensuite, évaluez combien d’heures vous pouvez travailler par mois. Puis vous multipliez ce nombre d’heures de travail par votre tarif horaire. Regardez si ce chiffre d’affaires vous permet d’avoir votre salaire (chiffre d’affaires divisé par trois)
Si c’est bon, parfait. Sinon, jouez avec des variables d’ajustement : baisser ou augmenter le prix, ajuster vos coûts de fonctionnement, faire varier vos nombres d’heures disponibles.
Bon, tout ça est assez simplifié, mais cette base vous sera déjà très utile.
Un exemple concret d’entreprise photo qui débute
Je vous propose d’illustrer le calcul ci-dessus avec un exemple très concret (fictif mais trèèèès réaliste).
Prenons Mathilde. Elle est passionnée par l’équitation. Elle connait bien ce milieu et se lance dans une activité pro à plein temps de portraits équestres cheval et cavalière ou cavalier.
À temps plein, elle peut dégager en moyenne 35 heures/semaine sur l’année. Elle veut un revenu de 2000 euros/mois. Dans un premier temps.
Elle a fait une étude de son marché, dans les Yvelines, et elle a fixé le tarif de sa première offre principale à 300 euros pour une séance de 2 heures. Pour ce prix elle livre 3 tirages 20×30 cm et leurs 3 fichiers HD au choix du client depuis une galerie web.
Les autres supports imprimés ou numériques sont en option : elle sait qu’en moyenne les clients de ce type de shooting équin en commandent pour 200 euros.
Elle peut donc gagner en moyenne 500 euros pour chaque séance de deux heures passées en shooting.
C’est de la prestation plutôt haut de gamme et Mathilde sait donc que pour deux heures de prestation photo avec les client·e·s et leur cheval, il y a quatre heures de travail ensuite : post-traitement de qualité, création de la galerie web, relations avec les fournisseurs pour les tirages, archivage.
Plus une heure de transport en moyenne.
Pour avoir un revenu de 2 000 euros tout en ayant une entreprise solide, elle doit donc dégager 6 000 euros de chiffre d’affaire par mois. Soit 3 shootings par semaine.
Sachant qu’un shooting photo demande à Mathilde 7 heures de travail (la prestation de 2 h + 1 h de transport + 4h de post-traitement et livraison), elle arrive à 3 shooting x 7 heures = 21 heures de travail par semaine.
Puisque Mathilde dispose de 35 heures de temps ça marche ! Elle a bien fixé ses prix.
Elle va pouvoir utiliser les 14 heures restantes chaque semaine pour la prospection et le marketing (monter des partenariats avec les haras et les clubs équestres, être présente sur les réseaux sociaux, alimenter son site internet, participer à des événements dans sa thématique…). Et un peu d’administratif au passage 😉
Ouf, on en a fini avec les chiffres.
Vous êtes toujours là ? Félicitations, on a vu le plus gros ! Vous pouvez poser la calculette 😊. On poursuit donc avec les 3 dernières étapes. Plutôt en réalité trois bonnes pratiques pour optimiser vos prix et vos revenus.
4️⃣ Proposez des options variées
Une astuce très efficace pour maximiser vos revenus photo : proposer des options variées à vos clients. Vous devez donc aussi en fixer les prix. Attention, il ne s’agit pas de tomber dans le syndrome Centrakkor, c’est à dire proposer des dizaines de choix. Le risque serait de noyer le prospect dans un océan d’options.
Vous l’avez déjà vu, ce qui marche bien, à raison, c’est de créer 3 ou 4 forfaits ou packages qui incluent des services et des produits supplémentaires à des niveaux de tarifs plus ou moins élevés. Ces packs sont tout prêts, le client a juste à choisir celui qui lui va le mieux.
Mais c’est possible d’aller encore plus loin en proposant des options de personnalisation à ces packages de base. Ça permet à vos clients d’e choisir d’être encore plus proches de ce qui correspond le mieux à leurs besoins et à leur budget (tout en vous donnant l’opportunité de générer des revenus supplémentaires).
Attention, ces options qui permettent d’augmenter le panier moyen ne doivent pas être considérées dans vos tarifs de base pour vos calculs. C’est du bonus.
Bref, offrir des options diversifiées à vos clients est une stratégie éprouvée pour accroître vos revenus tout en répondant à une gamme plus large de besoins. Ne vous en privez surtout pas.
Nouvel exemple concret pour fixer vos tarifs shooting
Prenons l’exemple de Julien, photographe de mariage. Il a mis en place 3 packs distincts :
- Pack Essentiel : Il couvre le service de base, incluant une couverture photographique du mariage de six heures, une sélection de photos retouchées livrées en haute résolution et une galerie en ligne pour partager avec les invités. Tarif : 850 €
- Pack Signature : Julien y ajoute une séance d’engagement avant le mariage, une couverture étendue jusqu’à dix heures incluant les préparatifs, et un album photo de luxe. Tarif : 1200 €
- Pack Prestige : Ce forfait haut de gamme propose une couverture complète du mariage, de la préparation jusqu’à la fin de la soirée, une deuxième séance photo post-mariage dans un lieu exclusif, et un coffret de tirages d’art. Tarif : 1800 €
Chaque pack est conçu pour offrir plus de valeur et de services que le précédent, permettant à Julien de répondre aux attentes variées de ses clients tout en augmentant son chiffre d’affaires.
Il s’assure également que les options supplémentaires soient attractives sans compromettre ses tarifs de base, ce qui lui permet de séduire une clientèle plus large sans diminuer la valeur perçue de son travail.
C’est d’ailleurs un vrai talent commercial d’étager ainsi le contenu et les tarifs des packs. La difficulté étant de ne pas phagocyter un pack avec un autre plus alléchant.
La marque Apple est passée maitre dans cet art ! Faites le test en simulant l’achat d’un iMac d’entrée de gamme, ajoutez 2 options et vous vous retrouvez à 200 € de la gamme supérieure. Vous allez vite tomber dans leur « piège » en basculant presque naturellement dans l’offre supérieure.
À méditer non ?
Revenons à Julien. En personnalisant ses packs, il offre à ses clients la possibilité d’avoir une expérience qui colle au mieux à leurs envies, ce qui renforcera leur satisfaction et donc la probabilité qu’ils recommandent ses services. Magique !
Vous l’avez compris l’étagement de votre offre par la création de packs est un atout majeur.
5️⃣ Ne sous-estimez pas votre temps
Lorsque vous fixez vos tarifs photo, comme on l’a vu dans le point 3, n’oubliez pas de prendre en compte le temps que vous consacrez à chaque prestation.
Mais tout le temps ! Pas seulement celui de la prise de vue. Je sais que c’est très logique et évident, mais je préfère vous le rappeler.
Tout doit y passer : le temps de prise de vue, en retouche, en communication avec le client, en préparation et en livraison des photos. Votre temps est précieux, et il est donc important de le valoriser.
Ne soyez pas tenté de baisser vos tarifs simplement pour obtenir plus de clients. Vendre des mariages à 500 euros la journée complète ne vous emmènera pas loin (ni la profession d’ailleurs)
Tout comme n’abusez pas des promotions. Si vous ne faites que ça, vos prospects n’achèteront plus, sauf en période de promo. Ça peut être piégeux.
Concentrez-vous plutôt sur la qualité de votre travail et la valeur que vous apportez.
6️⃣ Restez flexible
Votre tarification n’est pas figée. Vous pouvez ajuster vos tarifs au fil du temps en fonction de votre expérience, de l’évolution du marché et de la demande.
J’irais même plus loin en disant que la flexibilité est la clé de la pérennité dans le métier de photographe indépendant. Votre grille tarifaire doit être vivante, prête à évoluer avec vous et votre art.
L’ajustement de vos tarifs doit aussi tenir compte des tendances du marché et des attentes de vos clients (d’où l’intérêt de faire une veille de qualité, mais c’est un autre sujet). Si vous remarquez une augmentation de la demande pour vos services, c’est un indicateur que votre travail gagne en valeur et que vos prix peuvent suivre cette ascension.
Au fur et à mesure que votre expérience s’enrichit et que votre portfolio s’étoffe de projets variés et de collaborations réussies, c’est normal, logique et sain que votre tarification reflète cette croissance.
Rien n’est gravé dans le marbre, et c’est tant mieux !
Et quand ça vous arrivera, vous devrez être transparent. Communiquez toujours toute modification de tarifs à vos clients, en justifiant ces changements par votre développement professionnel et l’amélioration continue de la qualité de votre travail.
Des témoignages positifs de clients satisfaits sont des outils puissants qui attestent de votre crédibilité et peuvent soutenir une augmentation tarifaire. Ne faites surtout pas la politique de l’autruche, la confiance gagnée auprès de votre communauté n’aimera pas du tout !
Fixer vos tarifs shooting : ce qu’il faut retenir
Que vous débutiez complètement en photographie professionnelle ou déjà bien installé derrière l’objectif, le défi de bien fixer vos tarifs shooting reste crucial.
D’ailleurs, mes échanges avec les membres de ma communauté portent très régulièrement sur ça (avec le nom de l’entreprise aussi ! 😊)
À la lecture de cet article, vous aurez bien compris qu’il ne s’agit pas simplement d’apposer un chiffre sur un service. Ce serait trop simple et surtout dangereux.
C’est un savant mélange, entre du scientifique bien carré et de l’intuition, pour valoriser votre art, comprendre la psychologie de vos clients, et assurer votre rentabilité !
Mon dernier conseil : passez à l’action ! Ne vous contentez pas de la lecture de l’article, au contraire, prenez votre calculatrice, votre carnet de notes et commencez à structurer des offres. Fixer vos tarifs shooting n’est pas qu’une science exacte, mais avec les bons paramètres, on fini toujours par trouver la bonne formule !
Dites moi en commentaires si cet article vous a aidé !